lundi 15 juillet 2013








      En cliquant sur le libellé LACAN, séminaire LA RELATION D'OBJET dans le bandeau sous le titre du blog on fait apparaître le message "La relation d'objet, leçon 11, le phallus et la mère inassouvie"
      Ensuite vient le sommaire des leçons qui précèdent la leçon en question.
      Ce qu'on appelle "Le séminaire de Lacan" c'est l'enseignement oral qu'il a donné pendant près de 30 ans dans divers lieux, année après année. Enseignement jamais écrit. Nous le connaissons parce que certains de ceux qui l'écoutaient ont pris des notes, qu'ils ont ensuite retranscrites, raison pour laquelle toutes les publications quelles qu'elles soient sont des transcriptions.
      Ce que Lacan a écrit s'appelle "ECRITS" : un recueil de textes, un gros pavé, une jouissance.
      Cet enseignement était fait pour des praticiens : des médecins psychiatres, des psychologues, des philosophes aussi, qui inscrivaient leur pratique dans la théorie lacanienne du retour à Freud, que les anglo-saxons, notamment, déforment.
      On entend aujourd'hui des non praticiens du psychisme regretter ne "rien comprendre" à Lacan.
Ma foi, ne pas comprendre une pratique qui nécessite des années d'apprentissage me parait la moindre des choses. Certains y arrivent pourtant, qui sont poussés par le désir de savoir.
      A ceux-là, s'ils se demandent par où commencer, je dirais que ce qui donnera la plus grande solidité à leurs connaissances, c'est de lire les articles de Freud,d'abord, dans leur chronologie.
       Olivier Douville (Chronologie de la psychanalyse du temps de Freud 1856-1939) en fait un recensement passionnant.
      Ensuite seulement lire les séminaires de Lacan, et se reporter aux "Ecrits" dans leur chronologie.


      En décidant de faire, sur ce blog, des "comptes rendus de lecture", j'ai choisi de commencer avec
un des premiers séminaires de Lacan. Et de simplement reprendre les leçons, une à une, en écrivant ce que j'en ai compris.
      Le séminaire de 1956/57 comprend 27 leçons. Telles qu'on les lit ici elles ont des titres, et sont regroupées en 5 parties thématiques, titrées elles aussi. Lacan lui-même n'a jamais fait cela.
      Ce "saucissonnnage" dans la continuité de l'enseignement annuel de Lacan est le fait de son exécuteur testamentaire Jacques-Alain Miller (JAM). C'est discutable comme procédé, mais pour quelqu'un qui débute dans la lecture des séminaires, d'une part cela aide à se repérer, d'autre part cela montre l'implacable, la formidable continuité d'une prodigieuse pensée clinique à l'oeuvre : non seulement à l'intérieur de chaque séminaire, mais de séminaire en séminaire.
      Suit un texte, qui est un compte rendu d'une leçon : ci-dessous la leçon 4 du séminaire de 1956/57.
      En cliquant sur LACAN, séminaire LA RELATION D'OBJET c'est la dernière en date des leçons que je travaille qui s'affiche. Elles se suivent donc dans leur ordre inverse : pour lire la première il faut descendre, descendre, descendre ..
      ou bien aller dans DIACHRONIE : 2011, octobre, 1 ère leçon, etc.

samedi 29 juin 2013

23 ème séance : Oui, le temps est venu.


Il s'avère que ce blog fut un exercice très personnel, aussi.

J'avais pressenti quelque chose de ce genre, à un certain moment qu'il faudra que je retrouve.
J'avais alors modifié le titre "Divan, fauteuil et gargoulette .. un passage vers la psychanalyse",
pour "Divan, fauteuil et gargoulette .. et passe."
Puis il y a eu une précipitation, suffisamment radicale pour me déstabiliser,
 lors de mon élaboration-rédaction de la 20 ème séance,
et quelque chose s'est précisé, finalement, dans les deux séances suivantes.

J'en suis là, depuis que s'est posé la question du temps venu, d"animer les pierres".
" Là ",
c'est plus loin que je ne suis jamais allée, vers l'origine.
Grâce à vous, que je suppose, puisque j'ignore si vous êtes un, dix, et si même vous existez.

A partir de maintenant je vais être plus didactique, mais je prendrai appui, pour ce faire,
sur ce que fut cet exercice : l'expérience d'un dire, guidé par la psychanalyse, en séances, et Adressé.
La prochaine séance sera en même temps
une terminaison, car appuyée sur un bouclage, et sera la fin d'un certain style d'adresse,
une prolongation, car les nouveaux messages s'appuieront toujours sur ce dire déjà produit,
et un commencement, car je vais tenter d'en tirer un savoir, et des enseignements..
De l'expérience d'un dire à sa théorisation, pour un retour à l'expérience, modifiée.
C'est mon intention.
C'est dans cet esprit que je suis en train d'élaborer cette prochaine séance, la 24 ème.
J'ignore le temps que cela va me prendre, ayant un peu de mal, pour l'instant,
 à ordonner les choses pour les rendre transmissibles.

pascal-cessou-jarre-provencale-n-7142894-0.jpg

Dessine-moi une gargoulette ..

pascal-cessou-gargoulette-n-4939046-0.jpg
galerie.creation.com





___

mercredi 12 juin 2013

22 ème séance : animer la pierre.



Le moment est venu, d'animer les pierres ?




De dire que "pierre" n'est qu'un son,

de dire que ce n'est qu'un mot qui, bien qu'appelant certaines images,
est en fait une porte .. dans le langage même.
Une porte dans le langage, qui ouvre .. sur d'autres mots.

Dire que c'est de mot en mot qu'on s'avance vers le passé,
pas jusqu'au bout, toutefois, pas jusqu'à l'originaire, qui garde énigme et .. attrait,
et que, de la même façon, de mot en mot, on en revient.


_____

dimanche 9 juin 2013

21 ème séance : Ni d'ici, ni d'ailleurs. Divagations.





J'hésitais à mettre cet article dans la rubrique 'Séance après séance', ne voyant pas,
au premier abord, dans ce qui me poussait à titrer "Ni d'ici, ni d'ailleurs" ce qui pouvait faire chaîne,
du coté des signifiants, avec l'article précédent "Pétrifier, et après ?" 
J'avais titré "Pétrifier, et après ?" suite à une remarque sur l'article "La chose primitive" :
  "ça fait beaucoup de pierres, tout ça." m'a-t-on dit.
Effectivement, à première vue, toutes ces pierres, dans ces deux articles. Pierres ? depuis quand ?

Notons que dans cette phrase il y a aussi "ça", et deux fois. L'inconscient freudien.
Or c'est dans "ça" que, pour moi, se pose la question de la pi err e, entre autres questions.
"ça", qui est présent dès la première ligne du blog, et dans le titre, aussi.
Ceux qui ont la passion des fouilles peuvent se reporter à l'article "Je reviendrai",
où il est possible de lire, dans ce qui s'entend, quelque chose.
Fermons cette piste du ça qui (bien que l'étant toujours) n'est pas à l'ordre du jour,

l'ordre du jour étant "Ni d'ici, ni d'ailleurs".
J'ai choisi pour illustrer l'article un tableau de G. Richter, à cause de quelques mots de lui
sur la peinture abstraite, dont on entend dire qu'on n'y "voit rien", qu'on n'y "comprend rien",
et que ces mots peuvent aussi s'appliquer à l'inconscient :
dans la peinture abstraite il s'agit de "visualiser une réalité que nous ne pouvons ni voir, 
ni décrire, mais dont nous pouvons néanmoins conclure à l'existence."
Cela rejoint les thèmes de "ce qu'on voit" et du "ça" du début de l'article, car
ce que Freud nomme "ça" et Lacan "Réel"  c'est l'inconscient,
qu'on ne voit pas, mais qui existe.

L'expression "Ni d'ici ni d'ailleurs" me vient d'un site où j'ai atterri  ce matin, de clic en clic :
"Terres de femmes", et une question qui m'est venue en le parcourant :
 "Mais où est ma terre, à moi ?", et une réponse : " Ni ici, ni ailleurs ".
Par ailleurs (!) j'avais posté vers midi, sur un site (c'est matinée internet) un commentaire d'humeur
qui m'avait laissée dans un questionnement : "mais d'où je parle, moi, là , pour venir m'immiscer ici ?"

J'en étais là, en préparant mon repas : "où est ma terre" .. "d'où je parle" .. "ni d'ici ni d'ailleurs" etc
quand m'est venu aux lèvres : "qu'ils disent !" renvoyant ainsi sur l'autre, dans l'espace public,
 le tourment qu'il me cause, cet autre, semblable à moi pourtant,
 du fait que quelques uns de mes ancêtres on fait, dans l'espace-temps,
un petit crochet historico-géographique,
 et qu'en conséquence il n'y a pas de consensus sur là d'où je suis, sur où est ma terre, à moi,
certains m'accusant (de "mise en accusation" au sens juridique, avec procès, lapidation, et tout)
de ne pas être d'ici, mais d'ailleurs, et que cet ailleurs se verrait à la couleur de mes pieds,
d'autres m'accusant (de "mise en accusation" au sens juridique, avec procès, lapidation, et tout)
de ne pas être d'ailleurs, mais bien d'ici, et que mes origines ne sont pas "là-bas".

Comme si je pouvais choisir entre ma mère et mon père, ou entre mes fils,
ou entre ma terre natale et la terre de mes ancêtres. Il y a de l'impossible.

Voilà ce qui s'est amalgamé, ce que je peux dire des associations de ces dernières heures,
qui m'ont conduite à venir ici pour en fixer quelque chose.
Une suite d'idées suffisamment pregrantes
 pour m'empêcher de persévérer dans la tentative de regarder un documentaire-télé en déjeunant.
des associations d'idées qui ont pris le caractère d'urgence qu'elles revêtent quelquefois,
quand on on a l'impression de tenir quelque chose, qu'on est sur le fil d'un savoir,
et qu'il faut le noter.
Quelque chose s'est ouvert, puis refermé, et dont la trace est cet article.
 Car même si le sout err ain, cet inconnu absolu, à peine éclairé s'est de nouveau obscurci,
à cause de "pierre", et de "terre", et de la question qui en résulte,
l'opération a laissé un reste : des mots et des sons, qui en appellent d'autres.



http://terresdefemmes.blogs.com/
                           http://www.tate.org.uk/art/artworks/richter-abstract-paintinf-726-t06600


___________



samedi 25 mai 2013

20 ème séance : "Pétrifier". Et après ?






Il n'y a pas d'antinomie, entre l'immuabilité et l'ardeur.


___________




http://pinterest.com/ekimenni/gerhard-richter

vendredi 24 mai 2013

3. Parler en son nom propre.


Une fois n'est pas coutume,
je fais en page d'accueil une demande directe :
soutenir un projet qui donne la parole, dans de courtes séquences filmées,
à des jeunes gens autistes,
ainsi qu'à leurs mamans et à leurs papas

Margot

Roman


Voilà !
à 10 heures, ce mercredi 5 juin, 101 % sont financés !
Merci, merci, merci,
et les choses vivent, là-bas, sur le site.


http://fr.ulule.com/qsid/






___

samedi 6 avril 2013

19 ème séance : La chose primitive.


La séance 18 traitait du thème de la sortie.
Sortie d'un lieu, par Thésée, grâce au fil d'Ariane,
 sortie d'un état, celui de l'ignorance, suite au désir de savoir.

Ce thème s'était déduit de la rencontre entre tout ce qui bruite ici, associations
 de mots, de sons, d'images qui trament la suite des séances,
et un élément quelconque rencontré à l'extérieur, et que j'intègre parce qu'il sert la visée du blog.
L'élément quelconque, là, c'est ce fragment de texte qui dit quelque chose sur le désir d'analyse

 L'important est que nous touchons une perspective historique rétroactive.
Le sujet formule et organise une situation primitive dramatique 
à partir du point où nous en sommes dans l'analyse, 
d'une façon qui s'inscrit dans sa parole actuelle, son pouvoir de symbolisation présent.
C'est ainsi que nous retrouvons, par le progrès de l'analyse, 
ce qui se présente comme la chose primitive, l'organisation primordiale la plus profonde.
                                                                                                                                      Lacan, La relation d'objet.

                                                                               
Le mot important est donc l'adjectif  "rétro-actif":
"Ici" dans l'analyse, et "maintenant" au point où nous en sommes, au présent,
nous formulons et organisons -parole actuelle, symbolisation actuelle-
une chose primitive, primordiale, un drame qui a déjà eu lieu,
et qui a toujours lieu.




J'ai trouvé cette image ici

vendredi 5 avril 2013

La symétrie n'est qu'un instantané.




Jacques Lacan : "Je me suis aperçu d'une chose, 
c'est que peut-être je ne suis lacanien que parce que j'ai fait du chinois autrefois."**

Yin et yang, en opposition symétrique, 
sont au cœur de tout ce qui se manifeste : femme homme, jour nuit, terre ciel .. 
mais ils le sont dans un mouvement qui est perpétuel : approche .. éloignement .. approche ..

De même nous savons que notre dynamique psychique connait une oscillation perpétuelle 
liaison .. déliaison .. liaison .. déliaison ..
depuis que Freud a lu dans les formations de l'inconscient qu'un conflit psychique 
né de nos tendances contraires, même exilé par le refoulement, ne cesse de faire retour :
dans nos rêves, dans nos symptômes, dans nos lapsus et nos actes manqués, 
il rythme une perpétuelle alternance : patent .. latent .. patent 
 comme le yin et le yang de la sagesse chinoise.


                                                    Le Yijing et la topologie lacanienne.

___________


samedi 23 mars 2013

18 ème séance : "Tu peux s.." ortir du labyrinthe.






Ariane a aidé Thésée à sortir du labyrinthe contre une promesse, qu'il n'a pas tenue.
En lui disant "Tu peux sortir du labyrinthe, si .." elle a pris ce risque : miser sur l'autre.

Je ne suis pas venue à penser au fil d'Ariane par hasard,
 mais parce que, dans cette élaboration que je poursuis ici "séance après séance",
après "X, Y, XX, XY" qui venait après "Panade", lui-même suivant  "$<>a" etc..
et avec à l'esprit ce projet de montrer comment fonctionne la psychanalyse, 
qui me fait choisir pas n'importe quelle communication, mais celles soumise à un fil conducteur 
(souvent invisible je le reconnais, mais patience ..), et sachant qu'y passe aussi de l'in-maîtrisable,
j'ai rencontré,
leçon 8 du séminaire sur la relation d'objet, leçon qui traite du fantasme "On bat un enfant"
 ce fragment de l'enseignement de Lacan :

L'important est que nous touchons là une perspective historique rétroactive. 
Le sujet formule et organise une situation primitive dramatique
 à partir du point où nous en sommes dans l'analyse, 
d'une façon qui s'inscrit dans sa parole actuelle, dans son pouvoir de symbolisation présent.
C'est ainsi que nous retrouvons par le progrès de l'analyse
ce qui se présente comme la chose primitive, l'organisation primordiale la plus profonde. 

Rien n'est mieux approprié pour s'insérer dans mon élaboration, ici, que ces mots traitant de
perspective historique rétroactive,
de fantasme comme drame primitif pouvant s'inscrire dans une parole actuelle.
En cherchant un titre et une illustration, j'ai pensé à "fil d'Ariane", qui m'a fait imaginer cet homme
tâtonnant, cherchant une issue , à qui Ariane a dit "tu peux sortir" (assorti d'une condition).
Il y a une infinité de lieux, réels, imaginaires, symboliques, desquels on peut vouloir sortir ..

La superposition des significations possibles, et des sons, n'en doutons pas,
autour de "tu peux sortir du labyrinthe" m'ont conduite à
"Tu peux savoir",
autre formule de Lacan par laquelle il a voulu nous dire que nous pouvons sortir de l'ignorance.
Notamment : en confiant notre position subjective à un autre, ou d'autres, voire à un public,
nous pouvons avancer vers un savoir sur notre absolue intimité,
notre organisation primitive la plus profonde, sur ce qu'organise notre fantasme fondamental.

Il n'est question que de cela, ici, séance après séance.

____________



haut article : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Dionysos_Ariadne_Louvre_CA929.jpg?uselang=fr

jeudi 28 février 2013

vendredi 25 janvier 2013

16. Panade.





Encore une fois, je suis dans l'embarras pour continuer, après avoir affiché 
la formule du fantasme  ($ <> a) dans le message précédent.

                 Embarras, comme Panade*, ou peine, ou panne, évoque le tourment d'être arrêté
             dans un élan, une trajectoire : ça piétine, ça balance, il y a de l'indécision et de l'impossibilité.
                                 
             Suivant mon choix d'y mettre du mien, de "me prendre avec" ce que je dépose dans ce blog,
                           j'ai glissé "gargoulette", ce signifiant de ma propre histoire, dans l'affiche
               "ici-on-parle-de-psychanalyse-et-je-vais-tenter-de-vous-en-transmettre-un-bout".
                                                                      Résultat ?
                     Quitter le fauteuil pour se ré-arrimer au divan présente des difficultés imprévues.
                                     
                                  Dans ce que j'ai créé là, cet hybride fruit des deux hybrides
                          "Enseignement-mais-pas-vraiment"  + "déballage* non-sans-maîtrise",

                                     donner la formule sèche $ <> a, la formule du fantasme,
              et "tout sujet humain($) .. garde un certain rapport(<>) .. à son premier objet(a)"
                       (un savoir sur le fantasme, sa formule, un savoir qui s'enseigne), ne suffit pas,
                  je dois tenter de montrer que mon inconscient est impliqué dans cet acte de volonté.

                                         Par chance aujourd'hui c'est facile, alors allons-y :
                 Tout un chacun est impliqué dans ce qu'il dit, soit d'une manière volontaire (les mots
                 sont choisis pour servir notre message), soit d'une manière involontaire, hors volonté,
              hors pensée consciente, qui fait que certains des mots alignés, enchaînés pour servir l'idée
            consciente, le projet, servent en même temps une autre logique, invisible, mais parallèle.
               Dans un discours enseignant bien maîtrisé, bien étale, fluide, chaque mot se lie à celui qui
              l'a précédé et à celui qui le suit dans une parfaite continuité. Pourtant un psychanalyste qui
              connaîtrait le parleur depuis un certain temps pourrait repérer ceux qui parmi eux relèvent
                                                             des deux logiques.
             L'éclosion est discrète : une bulle légère venue éclater à la surface de l'eau sans la troubler.
              Qui pourrait croire que ce qui a produit ce léger clapotis a la même origine que le geyser
                            qui a surpris Rachida Dati et déstabilisé tant de monde ? Et pourtant.

                          A la ligne 4 de ce message pensé et réfléchi sur le fantasme en général,
              s'est glissé un mot discret en ce sens que je suis la seule à savoir que s'il est venu là pour
                servir mon idée de sur-place et de piétinement, il sert aussi ma logique inconsciente car
                                          aussitôt écrit il m'a renvoyée à métronome.
                  Métronome a à voir avec un rêve de cure personnel, cure dans laquelle il a joué
                -jeu qui n'est jamais fini, la preuve-, un rôle fondamental quant à l'élucidation de mes
                                        propres fantasmes, originaire et fondamentaux.

            Les lignes qui suivent sont la conclusion de ce que j'ai écrit aujourd'hui, à partir de "panade"
          et de la définition du fantasme. Pour ce faire j'ai choisi mes mots. Si vous m'avez un peu suivie
              vous trouverez peut-être parmi eux un verbe qui a une parenté avec "ça balance" et avec  
           "métronome", avec ce qui, dans mon discours, témoigne du monde sous la surface de l'eau.

                                                             Conclusion :
          Deux incidences font obstacle à la vitesse de production des messages "séance après séance" :
                 la première tient à mon intention de présenter un travail théorique le plus clair possible,
                  mais la seconde tient .. au fantasme lui-même d'être ainsi en quelque sorte appelé,
                le fantasme originaire impose (plus ou moins) sa loi, qui est d'osciller entre deux pôles :
                                         un pôle qui éteint, et un pôle qui euphorise.

                 En attendant la suite, qui viendra quand elle viendra, je poursuis mes comptes rendus
                       de lectures très appliquées : le séminaire sur LA RELATION D OBJET
                      et, au gré des circonstances, PSYCHANALYSE DES CONTES DE FEES
                                          ou DENOUEMENT D UNE ANALYSE
                 


                                                       
                                                      J'ai pris l'image du métronome ici :
                    http://www.medecine-des-arts.com/Le-rythme-le-metronome-le-tempo-le.html


                                                                         

jeudi 3 janvier 2013

15. Tout sujet humain garde un certain rapport à son objet premier.








         Tout sujet humain  ..            garde un certain rapport  ..          au 1er de tous ses objets