J'avais six ans, ou plus, mais je ne chercherai pas les dates exactes,
qui fixeraient de trop ce que je veux conserver tel que cette voix le restitue :
la chant de la douleur, pour sublimer la douleur.
C'était l'époque où mes grands parents paternels voyaient leurs enfants (mon père et mes tantes),
atterrir chez eux, l'un après l'autre, plus ou moins ravagés.
Ce devait être pareil de l'autre coté, coté maternel, mais je l'ignorais, car j'étais coupée en deux.
Ce devait être pareil de l'autre coté, coté maternel, mais je l'ignorais, car j'étais coupée en deux.
L'étrangère au paradis.
Je dédie cette chanson
à tous les pieds-noirs qui atterriront ici, surtout ceux qui ont plus de soixante ans.
C'est en prenant connaissance de cette initiative là
chez La radio des blogueurs,
que j'ai pensé, à cause du fil qui sous-tend ce blog, à cette chanson, et l'ai cherchée sur Youtube*
dans cette version et pas une autre.
Quant au rapport avec la psychanalyse, je commence une élaboration sur le souvenir-écran,
cet indicateur du traumatisme.
à suivre, donc.
Je dédie cette chanson
à tous les pieds-noirs qui atterriront ici, surtout ceux qui ont plus de soixante ans.
C'est en prenant connaissance de cette initiative là
chez La radio des blogueurs,
que j'ai pensé, à cause du fil qui sous-tend ce blog, à cette chanson, et l'ai cherchée sur Youtube*
dans cette version et pas une autre.
Quant au rapport avec la psychanalyse, je commence une élaboration sur le souvenir-écran,
cet indicateur du traumatisme.
à suivre, donc.
tiens je n'avais pas vu cette contribution... merci de votre aimable commentaire sur le blog qui m'a vraiment fait chaud au cœur.
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