Ses esclaves : fillettes razziées qui seront vendues, utilisées comme corps, ou pire.
Parce que pour certains, entre aujourd'hui et les premières razzias des premiers siècles,
il n'y a rien de changé sous le soleil, la razzia est toujours d'actualité.
Au pays des aveuglés par l'ignorance, les aveuglés par la bêtise font la loi.
Il y a des discours plus appropriés qui dénoncent expressément les razzias sauvages,
Il y a aussi des discours classe entre dames de première :
les dames dites "de droite reprennent le slogan de Michèle Obama,
Mais aux bals des pintades le pompom du discours réactionnel de traviole
est attribué à des dames dites "de gauche"
dont on pourrait penser qu'elle n'ont pas compris le truc, ce qui est déjà assez grave.
C'est peut-être pire : elles s'agitent pour détourner l'attention du crime et des criminels.
est attribué à des dames dites "de gauche"
dont on pourrait penser qu'elle n'ont pas compris le truc, ce qui est déjà assez grave.
C'est peut-être pire : elles s'agitent pour détourner l'attention du crime et des criminels.
Les esclavagistes rigolent et s'éclatent dans leurs chaumières.
du coté des informations,
Un biais pour amorcer la recherche psychanalytique :
c'est un fait que certains ignorent la culpabilité, et d'autres se sentent coupables par essence.
La culpabilité est la chose du monde occidental la mieux partagée ....
personne ne pense en être assez pourvu, tous en désirent toujours plus qu'ils n'en ont.
La Genèse, et la psychanalyse, nous ont appris que le sentiment de culpabilité
n'a pas besoin d'une faute réellement commise pour que l'individu se vive comme coupable....
Pourquoi choisir de se ranger du côté de l'erreur, de la faute, du péché ?
Comment expliquer que le crime n'engendre pas forcément la culpabilité ?
Comment se pardonner une offense que l'on n'a pas commise ?
J'ai extrait ces quelques éléments du titre d'une émission de France-Culture intitulée
La culpabilité, 1/4, Saint-Augustin et le péché originel
avec Paul-Laurent Assoun et Jean-Luc Marion notamment.
Voici aussi ci-dessous un commentaire d'un internaute. Pour lui, Daniel Sibony, pour qui
"la violence du Coran à l'égard des chrétiens et des juifs est une évidence qui n'est même plus
à démontrer " aurait pris la plume pour montrer que "l'Occident se fait complice d'un tel déni"
(Et vlan ! pass'moi l'éponge ! chantait Bourvil), car en "n'aidant pas les musulmans à prendre
la distance nécessaire à l'égard des textes fondateurs il ne fait qu'aggraver le problème".
Il y a là une condescendance envers les musulmans qui finalement est bien du côté du racisme,
dont l'internaute croit se dédouaner en accusant l"Occident" donc lui en fait.
Je suis une occidentale qui n'est ni coupable ni complice du déni de violence. j'ai fait une analyse,
dont une part a été bouclée, entre autre sur ma culpabilité personnelle à moi, et dont une part
et dont une part continuera à courir, visible dans mes dire et au risque de me tromper.
Je crois qu'il est d'intérêt public d'objecter aux discours trompeurs et cyniques des gouvernants
en plaçant les événements historiques dans "l'histoire historique" si je peux me permettre,
et pas dans l'histoire travestie, amputée, maltraitée et corrigée par eux.
et aussi ceci, pour ceux qui aiment les choses longues, compliquées (mais si satisfaisantes ..)
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